Parution de "Apprendre des territoires" - Hors série Revue Urbanisme

Ce hors-série présente des résultats issus de l’Atelier des territoires et du programme du Plan urbanisme construction architecture (PUCA) dénommé « POPSU Territoires », portés par la Direction générale de l’aménagement du logement et de la nature.

Ces deux démarches ont en commun d’apporter des outils et une ingénierie adaptés à la diversité des enjeux auxquels les territoires et les petites villes sont confrontés. Proposées aux collectivités locales et opérées en lien étroit avec les services déconcentrés de l’État, elles mobilisent in situ des concepteurs pluridisciplinaires (architectes, urbanistes, paysagistes … ), dans le cadre de l’Atelier des territoires, et des chercheurs en sciences sociales, dans le cadre de POPSU Territoires.

Avec ces deux dispositifs, l’Etat apporte un appui réflexif sur-mesure aux acteurs - élus, services techniques, agents, partenaires - dans l’élaboration de leur projet de territoire. Comme l’exprime Jacqueline Gourault, Ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, dans son avant propos, ils témoignent d’un " État en mode projet qui répond par une approche cousue main aux besoins."

  •  : Le pari de l’intelligence collective par Jacqueline Gourault, ministre de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales. Jacqueline Gourault rappelle les défis de la cohésion territoriale pour faire face aux changements dans le contexte de la crise sanitaire mondiale. A travers les programmes POPSU Territoires et Atelier des territoires, l’Etat accompagne les stratégies de transition des petites villes dont la revue Urbanisme trace les contours en présentant une variété d’actions novatrices.
  • - De l’étude de cas au cas d’école - La méthode POPSU Territoires pour comprendre, agir et transmettre par Jean-Marc Offner, Président du Conseil stratégique de POPSU Comment faire monter en généralités les études de cas POPSU Territoires ? Mis en mots comme récit, le cas d’école capte l’attention, facilite la mémorisation, par sa tension narrative ; plus encore lorsqu’il s’agit de comprendre des processus de changement. Le récit opère la fusion entre le sensible et l’intelligible. Que demander de plus à un dispositif de recherche-action ?

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